Dans ce scénario de confusion, l’état d’urgence a été prolongé et est toujours en vigueur; les employeurs et les employeurs doivent augmenter le niveau de diligence adopté.
La poursuite des activités de production ne peut en effet avoir lieu qu’en présence de conditions garantissant des niveaux de protection adéquats aux personnes qui travaillent. Le non-respect du protocole qui n’assure pas des niveaux de protection adéquats détermine la suspension de l’activité jusqu’à ce que les conditions de sécurité soient rétablies.
Le protocole prévoit l’obligation d’informer les travailleurs et toute personne entrant dans l’entreprise des dispositions des autorités et des mesures prises par l’entreprise elle-même. Les procédures d’accès aux bureaux de l’entreprise sont également établies.
Des instructions sont fournies pour assurer le nettoyage quotidien et la désinfection périodique du lieu de travail. Des informations sont fournies pour assurer l’hygiène personnelle et l’utilisation des EPI mis à disposition par l’employeur. Des informations sont fournies sur l’organisation de l’entreprise avec la prévision des équipes, la limitation des déplacements et la refonte des niveaux de production.
La «direction de l’entreprise» est réglementée en cas de présence d’une personne symptomatique et les rôles du médecin compétent et du délégué à la sécurité des travailleurs sont accrus et intensifiés.